Casablanca, Rabat et Marrakech représentent aujourd’hui les trois plus grandes zones de demande en cours particuliers au Maroc. Mais les dynamiques varient selon les villes. Casablanca, pôle économique, attire une forte population d’élèves inscrits dans des établissements privés et internationaux. Résultat : une forte demande en cours d’anglais, de maths et d’espagnol, souvent avec des professeurs à domicile. À Rabat, le profil est légèrement différent. Capitale politique et administrative, la ville concentre de nombreux lycées d’excellence et familles axées sur la réussite académique. On y retrouve une forte demande en soutien scolaire pour le bac, en particulier en physique-chimie, SVT et orientation post-bac. Les cours en ligne y sont également très prisés, notamment dans les quartiers comme Agdal et Hay Riad. Marrakech, quant à elle, enregistre une croissance rapide, avec de plus en plus de familles qui font appel à des professeurs particuliers pour accompagner leurs enfants, notamment en français et en mathématiques. Les quartiers comme Gueliz ou Targa concentrent cette évolution. En 2025, il est clair que l’investissement dans le soutien scolaire devient un réflexe dans ces grandes villes, où la compétition scolaire est bien réelle.